Par une nuit froide et orageuse, Firayna rentrai au Consul. Après de longues semaines à parcourir les tombeaux et cavernes de sanctuaire à la recherche d’ancien écrit de Wirt. Fatigué du chemin parcouru et surtout par les monstruosités qui on essayé de la tuer, dans la pénombre Firayna aperçu une lueur qui lui faisait pressentir un bon repas chaud et un peu de repos…
Firayna fut tiré de son sommeil par un fracas assourdissant, dans un réflexe, elle fit un bond hors de son lit l’arbalète au poing .Quand elle passa la porte son regard noir jugant la pièce en contre bas, apercevant une dizaine d’hommes bouc braillant. Du coin de l’œil elle aperçut sa première victime au milieu du couloir surplombant la grand salle, son doigt pressa instinctivement la gâchette et le carreau alla droit entre les yeux du monstre .D’un bond elle se retrouva au centre de la pièce, bondissant de part et d’autre en faisant pleuvoir un voile mortelle de carreaux.
La poussière fini de retomber au milieu du monceau de cadavre, Firayna commença à inspecter les corps des malheureux qui son tomber sous le coup de ces abominations .Rassemblant les corps pour finir le travail, elle fut tirée de son labeur par les éclats de rire d’un nourrisson, d’un pas pressé elle arriva dans l’arrière-boutique où se trouvai un nourrisson jouant dans les entrailles d’un homme bouc. Elle prit l’enfant dans ces bras, il était maculé de sang, essuyant délicatement l’enfant avec un linge elle remarqua avec stupeur la force qui en émanai.
« -Que vais-je bien pouvoir faire de toi ? « se demanda Firayna
Les choix qui s’offrait à l’enfant était mince, le premier monastère sur le chemin ou l’emmener au Consul, mais elle fut tiré de ces pensées par un grognement « Kron, Kron » elle posa les yeux sur l’enfant et là ce fut le choc, l’enfant caressai la lame de son poignard comme on caresse un animal de compagnie, un grand sourire illumina son visage, Firayna éclata de rire,
« Tu te prénommera Kronkk et tu viens avec moi !!!!»
Firayna se tenait devant l’auberge en flamme, l’enfant dans les bras .Sifflent ses compagnons elle reprit sa route….